Un Tesla Cybertruck, qui serait le seul en Ouganda, a été gravement endommagé lors d’un accident de retournement sur le circuit de Garuga, près du lac Victoria. L’incident, capturé sur les réseaux sociaux, soulève des questions sur la faisabilité de réparer le véhicule dans un pays dépourvu d’infrastructure de support officielle de Tesla.
Le crash et les dégâts
Les images de l’accident montrent le Cybertruck entamant un virage à gauche à grande vitesse. Le véhicule semble avoir perdu le contrôle, roulant sur le côté, sur le toit, et finalement s’immobilisant du côté du conducteur. L’étendue des dégâts est considérable : toutes les vitres sont brisées, le toit est gravement froissé et les panneaux de carrosserie sont irréparables dans l’immédiat.
Options de réparation limitées
L’Ouganda manque de concessionnaires Tesla ou de centres de service agréés. Cela crée un obstacle important à la réparation du véhicule. Les pièces devraient probablement être importées, ce qui rendrait le processus coûteux et long. En fonction de l’évaluation des dommages, l’importation d’un Cybertruck de remplacement peut s’avérer plus rentable.
Contexte et implications
Le Cybertruck a été importé à titre privé par un riche inconnu. L’incident met en évidence les défis liés à la possession de véhicules de niche ou de luxe dans des régions sans le soutien établi des constructeurs. L’accident s’est produit sur le circuit de course Garuga, utilisé pour le sport automobile occasionnel ; Les conditions de surface et le comportement des conducteurs ne sont pas encore confirmés comme facteurs contributifs.
Perspectives
Le sort du seul Cybertruck ougandais est incertain. Sans capacités de réparation locales, la récupération du véhicule dépend d’importations coûteuses ou d’un éventuel abandon. L’incident souligne les limites pratiques de la possession de véhicules spécialisés sur les marchés en développement.
